dimanche 21 août 2011

L'Hôte... (Partie 2)

Je le regarde tout en avançant doucement, il m’impressionne, je le trouve très grand…

Je me dirige vers lui hésitante et me place à genoux devant son fauteuil. Il me regarde avec insistance et tend sa main pour caresser mes cheveux. De son autre main il défait les boutons de son pantalon et sort son sexe dressé, que Je regarde discrètement, il est à la taille de l’homme, grand, fier, incisif.

La main de Charles se fait plus ferme et il approche ma bouche de son sexe dressé. Je ferme les yeux et ouvre machinalement la bouche pour recevoir sa queue, je lèche le gland tout doucement, comme s’il s’agissait de celui de Mon Maître. C’est une sensation étrange, une autre odeur, une nouvelle texture, une forme différente. Ma motivation ne doit pas être criante et je ne fais que peu d’efforts. La main de Charles me saisit les cheveux et il me relève la tête vivement « Ouvre les yeux et regarde ton Maître, Caroline ! ». Je m’exécute et croise le regard sombre de Mon Maître, je ressens son mécontentement, je déteste le mettre en colère…
Il ne prononce que quelques mots « Applique-toi Caroline et je t’interdis de fermer les yeux, c’est impoli ! ». Son ton est dur, cassant, je suis vexée, en colère mais je ne veux pas le montrer. J’en veux à Mon Maître qui m’impose de regarder son ami… La main de Charles desserre son étreinte mais me ramène rapidement vers son sexe. J’ouvre à nouveau la bouche et m’applique à humidifier son sexe sur toute la longueur, il écarte les jambes pour que je puisse accéder plus facilement à la base de sa verge. Je n’ose pas encore la prendre en bouche alors je le lèche encore et encore de haut en bas, de bas en haut. Je couvre sa queue de salive.

Il me tire la tête en arrière et m’ordonne d’ouvrir grand la bouche, il plonge son regard dans le mien, intensément. Je ne baisse pas les yeux, je maintiens son regard. Je sens qu’il essaie de déchiffrer mes pensées… Sa main pesante me ramène vers sa queue et me force à l’avaler toute entière. J’ouvre ma bouche au maximum mais ce n’est pas suffisant. Son sexe me remplit la bouche j’ai du mal à respirer. Il maintient la pression et me force à aller jusqu’au bout, mes yeux pleurent, j’ai l’impression que je vais vomir. Sa main m’attrape à nouveau et me dégage de son sexe. J’halète, j’ai du mal à respirer. Il soulève mon menton, me regarde dans les yeux et me demande d’ouvrir à nouveau la bouche. Je mets un peu de temps à m’exécuter, il me fixe et plonge ma tête vers son sexe. Je suis mieux préparée mais sa taille me gêne toujours autant. Il relâche la pression de sa main et je commence des va et vient rapides tout en essayant de reprendre mon souffle. Ses gestes se font moins durs et je sens qu’il se détend peu à peu…

Il glisse sa main dans mes cheveux avant de s’installer confortablement dans le fauteuil. Je poursuis mes caresses avec plus d’entrain et m’applique à le faire jouir. Je veux que Mon Maître soit fier de moi. Ma langue s’agite le long de son sexe pendant que ma bouche essaie d’engloutir au maximum sa grande taille. Je sens sa respiration de plus en plus forte. Je glisse mes mains le long de son sexe et entreprends de le masturber. Il pousse son sexe encore plus profond dans ma gorge. Je résiste, je ne pars pas, je subis ses assauts les larmes aux yeux. Sa main revient se poser sur ma nuque qu’il maintient fermement au dessus de sa queue. Je sens son sexe grossir dans ma bouche, mes lèvres enserrent son gland. Un son rauque et puissant, puis des jets de foutre inondent ma gorge. Je ne sais pas si je peux avaler, je n’en ai pas envie, mais j’attends les consignes. Je ne bouge pas, tête baissée, larmes aux yeux, j’attends.
Mon Maître se dirige lentement vers moi, s’agenouille, me caresse doucement les cheveux en me disant qu’il est fier de moi. Je souris timidement, la bouche pleine, il pose un baiser sur mes lèvres « Tu peux avaler maintenant… Tu as eu ton repas, le nôtre nous attend ! ».