jeudi 20 mai 2010

Il était une fois (partie 2)




Un coup sec sur ses fesses la tira de ses pensées, puis un autre. Les coups étaient de plus en plus forts, elle gémissait de plus en plus tant la douleur était vive. Mais il ne s’arrêtait pas, il ne cédait pas. Elle voulait résister le plus possible, lui tenir tête mais elle s’entendit le supplier « Pitié… Maître… arrêtez ». Sa réponse fut sans appel « Non. Tu sais très bien ce que je veux entendre ». « Pitié Maître… » N’y tenant plus elle saisit une de ses chevilles avec ses deux mains et s’agrippa de toutes ses forces en lui disant « Je vous en supplie arrêtez… Je… vous demande…….. pardon » d’une voix sanglotante. Les coups stoppèrent net et une main vint se poser sur ses fesses endolories, les caressant doucement pendant que trois doigts s’insinuaient dans son intimité. Elle était trempe. Elle tenta de se dégager dans un sursaut mais sa voix forte lui ordonna de ne pas bouger. Il continua le va et vient pendant quelques minutes puis s’inséra dans ses fesses. Ses doigts la fouillaient sans ménagement, elle voulait bouger, se dégager, mais une main ferme vint se plonger sur sa nuque pour lui rappeler qu’elle devait obéir. Elle n’avait plus la force ni l’envie de lui résister, elle voulait se fondre en lui, plier, le reconnaître comme son vrai Maître.
Son sexe vint se placer à l’entrée de ses fesses et il la pénétra sans ménagement. Elle ne put retenir un gémissement et des sanglots mais ne bougea pas, résignée. Il la possédait totalement. Des larmes coulaient sur ses joues, larmes de bonheur, de colère, de frustration, de bien être, tous les sentiments se mélangeaient…Mais elle ne bougeait pas, elle l’écoutait malgré la douleur, elle était là pour lui, à lui…Il continua son va et vient énergique pendant de longues minutes en laissant sa main poser sur la nuque de sa soumise, puis il finit par jouir en elle dans un râle puissant. Elle se mit à trembler de froid, de peur, de relâchement et tout en restant en elle il se mit a glisser ses mains le long de son corps pour la réchauffer De tout son poids il s’allongea sur elle la forçant à s’étendre sur la mince couverture. Il l’entoure doucement de ses bras protecteurs, sèche ses larmes et lui glisse à l’oreille « Tu es à moi ». Elle ne bouge pas, elle veut sentir tout le poids de son corps sur elle, toute sa force. Elle tend la main pour attirer la feuille de papier et le stylo et griffonne trois mots à la lueur de la bougie : « Je vous aime ».

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire